Ce break catapulte ses passagers jusqu'à des allures inavouables
De l’autre coté du Rhin, vous le savez, certaines portions d’autoroutes sont "libres", et les constructeurs locaux proposent donc des "outils" calibrés pour les allures très élevées. Audi nous a invités à goûter aux joies de l’une de ces machines. Et c’est la RS6 qui déboule, pour le troisième épisode, toujours avec son look de bodybuilder et uniquement disponible en break, à l’image de la RS4. Les habitués des berlines devront donc se tourner vers la S6 (4.0 TFSI 420 ch) ou mieux, la RS7 qui reprend la même mécanique que "notre" RS6. En l’occurrence, un V8 biturbo 4.0 dans sa déclinaison 560 ch (sa devancière disposait d’un V10 de 580 ch) mais offrant surtout un couple de 700 Nm dès 1.750 tr/mn (la précédente se limitait à 650 Nm...).A la mise en route, avec un tel CV, on a hâte de découvrir sur le terrain le potentiel de "poussée" de ce déménageur de choc.
De l’autre coté du Rhin, vous le savez, certaines portions d’autoroutes sont "libres", et les constructeurs locaux proposent donc des "outils" calibrés pour les allures très élevées. Audi nous a invités à goûter aux joies de l’une de ces machines. Et c’est la RS6 qui déboule, pour le troisième épisode, toujours avec son look de bodybuilder et uniquement disponible en break, à l’image de la RS4. Les habitués des berlines devront donc se tourner vers la S6 (4.0 TFSI 420 ch) ou mieux, la RS7 qui reprend la même mécanique que "notre" RS6. En l’occurrence, un V8 biturbo 4.0 dans sa déclinaison 560 ch (sa devancière disposait d’un V10 de 580 ch) mais offrant surtout un couple de 700 Nm dès 1.750 tr/mn (la précédente se limitait à 650 Nm...).A la mise en route, avec un tel CV, on a hâte de découvrir sur le terrain le potentiel de "poussée" de ce déménageur de choc.