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amg du g63 roi pétrole le mercedes

Roi du pétrole LE MERCEDES G63 AMG
Staff
#1
Roi du pétrole
Conçu en 1979 et restylé deux fois (en 1990 et 2012), le Classe G (pour « Geländewagen », ou « tout-terrain » en allemand) n'a pas vraiment évolué techniquement en 36 ans d'existence. Il s'agit d'un pur tout terrain, à la manière d'un Land Rover Defender. Rustique, il est fait pour affronter les pires conditions avec son châssis échelle indéformable, ses ressorts à lames, 3 blocages de différentiels et une gamme courte.
Autant de raison qui en ont fait un engin de choix pour les forces armées d'une quinzaine de pays dans le monde... dont l'Armée de Terre français, puisque le Peugeot P4 est un proche parent du G. En soi, celui-ci est donc un modèle plutôt rationnel, bien que coûteux. Avec un bloc Diesel, il s'agit d'un 4x4 extrêmement performant pour les amateurs de baroud qui souhaitent profiter d'un équipement premium dans l'habitacle. Et c'est évidemment là que l'histoire dérape. Ajoutez au G deux chiffres et trois lettres, comme 63 et AMG, et vous obtenez un objet inexplicable.
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Armoire normande
Visuellement, le Mercedes G 63 AMG ne diffère pas vraiment des variantes plus classiques. Il conserve son physique d'Apéricube au format XXL. Les plus perspicaces notent tout de même la présence de chromes ici et là, les jantes spécifiques associées à des pneus taille basse inhabituels pour un tout-terrain, ainsi que les doubles sorties d'échappement latérales dépassant sous les marchepieds de chaque côté. Notre exemplaire du jour ne se faisait pas vraiment discret non plus, avec sa peinture blanche contrastant avec des jantes noires. Cela dit, parler de discrétion pour un monstre approchant les 5 mètres de long pour près de 1,80 m de large et 1,90 m de haut ne semble pas tout à fait approprié. Puis on remarque les badges AMG sur la porte arrière et « V8 Biturbo » sur les flancs, trahissant la présence de la dernière version du moteur AMG sous le capot, gavé par deux turbines pour sortir 544 ch.
Sous l'enveloppe de tôle et d'acier, installé dans ce châssis antédiluvien, le Mercedes G 63 AMG emprunte donc plus à une E 63 AMG qu'à un rustique 4x4. C'est également le cas pour l'habitacle. Position de conduite mise à part, on se croirait à bord d'une supercar : sièges chauffés et ventilés, cuir omniprésent, volant à méplat, touches d'aluminium, équipement haut de gamme… Le G AMG ne partage pas grand-chose avec ses cousins militaires. Autre point commun avec une supercar, la place limitée à l'arrière. Malgré ses dimensions titanesques, le 4x4 se contente d'une banquette arrière plutôt étroite et une place aux genoux limitée pour les passagers. Prenons donc place à l'avant…
Combat contre les éléments
Le bloc se réveille avec un grognement rageur typique d'AMG. Il y a un véritable plaisir dans le fait de se savoir aux commandes d'un aussi gros moteur. On enclenche le Drive sur la douce boîte 7G-Tronic et on se met en mouvement. Conduire un tel monstre dans la circulation est une expérience étonnante. Le monde semble tout petit autour de nous et la sensation de puissance que provoque l'engin est, il faut bien l'avouer, plutôt grisante. Les premiers virages étonnent également. On sait que le volant est relié à quelque chose, mais on se demande s'il s'agit bien de nos roues avant… Il faut dire que la colonne de direction emprunte un chemin tortueux qui l'oblige à passer par quatre cardans, soit autant de pertes d'informations. On s'extrait de la circulation pour atteindre une voie rapide.
Dans ces conditions, le G n'a rien d'une GT dernier cri, mais il parvient à être confortable et plutôt silencieux lorsqu'on considère le vent qu'il pousse et la taille de ses gommes. On décide cependant de prendre avec humour les indications de l'ordinateur de bord concernant la consommation. A 110 km/h au régulateur, il indique une moyenne de 17 l/100 km. Ça promet…! Enfin, on atteint une petite route isolée et on s'autorise à aller voir ce dont est capable le G 63 AMG. Les accélérations qu'il fournit sont ahurissantes. Les grondements du moteur se font plus violents et sourds que jamais et l'aiguille du tachymètre s'envole vers la case « retrait de permis » à une vitesse surréaliste. On sent que les éléments font tout pour retenir ce monstre de 2,6 tonnes aussi aérodynamique qu'une brique, mais même Mère Nature doit s'incliner face au punch du G 63 ! L'expérience est aussi grisante que terrifiante pour le conducteur. En troisième en ligne droite, l'engin continue à allumer son ESP et le volant de transmet toujours pas plus d'informations.
On acquiert rapidement la certitude que le Mercedes nous conduit bien plus que nous le conduisons. Heureusement, le freinage est d'une puissance considérable et permet de reprendre le contrôle en quelques instants. Les virages sont une autre paire de manche et doivent être abordés avec circonspection. Il faut lutter contre l'envie de piloter le G comme une sportive, sous peine de se retrouver du mauvais côté de la route suite à un sous-virage terminal ! On dévore ensuite le moindre bout de ligne droite qui conduit à la courbe suivante, avant de sauter sur les freins et de tourner avec prudence. Une sablière permet enfin de confirmer que même en version AMG, le Classe G reste capable de véritables prouesses en tout-terrain. Reste que, après cette journée entre sable, petites routes et ville, la consommation annoncée oscillait entre 28 et 30 l/100 km. Pas étonnant qu'il s'agisse d'un engin de choix pour les fortunes du Moyen-Orient…
[Image: ukauto-22cc.jpg]
  


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